Les progrès de la médecine permettent aujourd’hui de nourrir par nutrition artificielle toutes les personnes malades, dès lors qu’elles ne peuvent pas s’alimenter par elles-mêmes. Cependant, la malnutrition se présente dans le cadre clinique comme une maladie d’une haute prévalence.
Est-il alors possible de faire de la nutrition un sujet éthique, de telle sorte qu’elle soit considérée en médecine comme un véritable soin?
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