Insécurité au Tanganyika : le gouverneur Kitungwa sollicite l’implication de ses administrés

Insécurité au Tanganyika : le gouverneur Kitungwa sollicite l’implication de ses administrés

La ville de Kalemie et ses environs (Tanganyika) font face, depuis quelques jours, à la montée de l’insécurité.Une situation que dénonce la société civile à travers le mouvement citoyen Parlement Debout Sans Tabou qui dresse un tableau sombre de l’insécurité dans ce coin du pays.

Ceci après la manifestation, la semaine dernière, des motocyclistes qui dénonçaient la mort de deux de leurs, tués par des coupeurs de route sur l’axe Kalemie-Bendera vers Misisi dans le Sud Kivu.Au cours de cette manifestation un lieutenant des FARDC a été tué par balles à la place Kisebwe.

Et déjà au mois de septembre dernier, des motards sont tombés dans une embuscade tendue par les coupeurs des routes, sur l’axe Nyunzu.Une maison a été cambriolée, où un homme a été grièvement blessé par des bandits munis d’armes blanches.

Ce mouvement lance un appel aux autorités compétentes de multiplier des stratégies pour sécuriser la population.Les échanges citoyens se sont déroulés entre les auditeurs et Christian Kitungwa Muteba, gouverneur de la province du Tanganyika, sous la modération de Marcel Ngombo Mbala.

La France a accueilli du 04 au 05 octobre 2024 le 19 -ème sommet de la Francophonie sous le thème “Créer, innover et entreprendre en français “. Au regard du thème retenu pour ce 19 -ème sommet la question des jeunes et l’emploi a constitué un des enjeux majeurs qui ont marqué ce sommet.

Il faut une volonté de créer des solutions concrètes tant au sein de l’OIF que dans les États membres pour offrir à la jeunesse des opportunités d’insertion professionnelle en langue française.Un autre enjeu est celui des nouvelles adhésions des pays observateurs tels que l’Angola, le Chili, la Nouvelle Ecosse (Canada), Polynésie française (France) et la Sarre (Allemagne) mais aussi des pays qui ont vu leur statut évoluer pour devenir membres de plein droit à savoir le Ghana et le Chypre.

Il était aussi question du multipartisme et de la gestion des crises, notamment sur le rôle que devrait jouer l’OIF dans la gestion des crises qui touchent l’espace francophone.Cependant une certaine opinion s’interroge sur le rôle que peut jouer réellement l’OIF dans la gestion des crises au sein de l’espace francophone mais aussi l’apport de la langue française face aux défis de développement auxquels sont confrontés certains de ses membres.

A ce jour l’OIF compte 93 Etats dont 56 membres, 5 membres associés, 32 observateurs et plus de 300 millions de locuteurs.

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire